L’art et le numérique en résonnance

Ce vendredi 9 décembre, pour cette première soirée Geek Bidouille de l’année scolaire, le Laboratoire d’Aix-périmentation et de Bidouille s’invite dans le nouveau lieu du Carrefour de l’Innovation et du Numérique*.

Une soirée placée sous le signe de l’art et du numérique.

Comment penser les technologies dans l’art aujourd’hui : simples médias de communication, outils, supports, dispositifs ? Les pistes qu’empruntent les artistes ne manquent pas de nous surprendre car la créativité est sans limite…

3 artistes qui officient dans le champ de la création numérique nous font découvrir leur travail.

·         Gravure sur verre, à l’aide de la découpeuse laser du LAB  par Ladislas, Artiste et illustrateur. En savoir + sur  http://www.ladislasdesign.com/

·         Projet de réalité virtuelle appliquée à la communication par Paul, Directeur artistique et Benjamin, Directeur associé de UUS Studio – Friche la Belle de Mai. En savoir + sur uus-studio.com

·         « Robot mon Amour », créatures mi-femme, mi-robot par France, Artiste, professeure à l’école supérieure d’art d’Aix en Provence. En savoir + sur www.cyber-doll.com

Rejoignez-nous et place à l’Art numérique !

http://www.meetup.com/fr-FR/Labaixbidouille/

*Pavillon des Arts, 100 rue des Bœufs – Aix-en-Provence

Et la créativité dans tout ça ?

Pour cette quatrième soirée 2016 du Fab Lab d’Aix en Provence, ce vendredi 22 avril (dès 19h à l’IUT d’Aix en Provence), le thème choisi est « La création numérique ».

La rapidité d’éclosion de l’ère numérique et les questionnements abyssaux qu’elle implique n’ont pas manqué d’attirer les artistes… Comment s’en servent-ils ? Parviennent-ils à une utilisation efficiente ? Exploitent-ils toutes les révolutions techniques et intellectuelles engendrées par le numérique ?

4 présentations au programme

Pochoirs et découpeuse laser par Ladislas, président et directeur Artistique de SCCdesign, Artiste et illustrateur à travers des projets personnels. En savoir + sur http://www.ladislasdesign.com/

Travaux de lightpainting par Nicolas, photographe amateur. En savoir + sur http://labaixbidouille.com/fablab/blog/2013/11/29/experimentations-photographiques-en-numerique/

Ovni musical, composé de machines, d’instruments traditionnels (guitare, cordes, piano,…), de lutherie électronique (Nintendo Wiimote, capteurs infra-rouges,…) par Yann, auteur-compositeur-interprète franco-irlandais musicien. En savoir + sur http://www.yanncleary.com/ (Disponibilité non confirmée)

Projet de sculpture électronique en lien avec le premier microprocesseur (4004) d’Intel par Quentin, directeur de GAMERZ. Cette présentation aura lieu via deux robots de téléprésence car Quentin sera au même moment sur un vernissage à la Fondation Vasarely dans le cadre du Festival GAMERZ ! En savoir + sur http://www.lab-gamerz.com/site/category/festivals-expositions/

Rejoignez-nous et place à la création numérique !

http://www.meetup.com/fr-FR/Labaixbidouille/

Histoires de «solidarité numérique»…

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Deux belles histoires de solidarité liées au numérique, ce vendredi 25 mars au Fab Lab d’Aix-en-Provence.

La première, une histoire d’ONG française, de formation et de numérique…

Aux Philippines, les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres sont criantes. Le système scolaire n’est pas totalement efficace et les études supérieures restent inabordables pour de nombreux jeunes (seuls 30% arrivent à suivre des études supérieures pour obtenir un emploi qualifié). Le secteur des nouvelles technologies est en plein essor, notamment dans la ville de Cebu où de nombreuses entreprises s’implantent. Les débouchés sont donc nombreux.

Depuis 2009, l’ONG Passerelles numériques propose une formation technique diplômante de 3 ans aux métiers de l’informatique, en partenariat avec l’université San Carlos de Cebu. Pour répondre aux besoins locaux du marché, 2 métiers ont été ciblés : celui d’Administrateur système ou de Développeur logiciels.

Guillaume Le Cousin, qui revient de cinq années d’aventure humanitaire, explique comment cette ONG française sélectionne des jeunes en situation de grande précarité, motivés avec un fort potentiel en leur faisant passer un examen écrit et un entretien individuel de motivation. Enfin une « visite surprise » dans la famille est considérée comme une étape essentielle permettant aux équipes de s’assurer de la nécessité d’élever socialement un jeune qui va ainsi permettre à toute la famille de sortir de la précarité.

La vie en centre de communauté est une véritable formation humaine, incitant les jeunes à développer leurs savoir être autour des notions de responsabilité, de confiance et de solidarité. Les cours ont lieu de lundi au samedi et le dimanche matin est consacré à des missions de « Community Services » : aide dans les orphelinats, renfort dans les centres pour personnes âgées, etc…

La recherche de stage est prise en charge par l’ONG qui démarche elle-même les entreprises car «il faut convaincre de la nécessité de rémunérer les étudiants et d’établir un vrai plan de formation».

La première promotion comptait 24 étudiants, ils ont été diplômés en mars 2012 et gagnent aujourd’hui 3 à 5 fois le revenu moyen de leurs familles. 97% d’entre eux trouvent, en effet, un emploi dans les deux mois. Même les étudiants de l’Université (évidemment bien plus aisés) reconnaissent l’excellence des formations de l’ONG et veulent s’inscrire « mais malheureusement ils ne sont pas assez pauvres !» conclue Guillaume Le Cousin.

La deuxième, une histoire de bus, de citoyenneté et de numérique…

« Il y a une responsabilité énorme derrière l’éducation » introduit Jean-Pierre Lanfrey qui a créer l’action Ze Bus portée par l’association Le Relais des Possibles. L’objectif : sillonner à bord d’un bus des quartiers des cités du Pays d’Aix pour essaimer la culture numérique. En outre, la révolution numérique change le monde et pose un problème de fracture numérique entre ceux qui y ont accès et maîtrisent leurs usages et les autres pour qui ces technologies restent inaccessibles. Ze Bus donne des raisons d’espérer en construisant des passerelles entre des mondes qui n’ont pas l’occasion de se rencontrer. Le projet a été présenté dès l’origine au Fab Lab d’Aix-en-Provence et coécrit car « avec des « faiseux », on se prend en main et on agit » souligne Jean-Pierre Lanfrey.

Poser un véhicule, ici un bus, sert de prétexte pour un échange et un partage autour par exemple d’un atelier autour de l’impression 3D. Sensibiliser à la fabrication numérique peut aider dans tout pleins de domaines différents en réalisant des choses concrètes, créer de l’envie ou tout simplement faire rêver des publics pas ou peu sensibilisés.

Un constat : un Fab Lab de par son ouverture doit pouvoir porter ce type de projet citoyen et solidaire.

Un appel : qui veut rejoindre cette aventure en donnant ce que tous à chacun a de plus précieux : du temps ?!

+ d’infos sur :

Passerelles numériques

http://www.passerellesnumeriques.org/fr/

Ze Bus – Le Relais des Possibles

http://labaixbidouille.com/fablab/blog/2013/10/18/le-fab-lab-prend-le-bus-pendant-la-fete-de-la-science/

Retrouvez la vidéo de la soirée sur :  https://www.youtube.com/watch?v=O7MJ7kZgO5g

Quand numérique rime avec solidarité

Pour cette troisième soirée 2016 du Fab Lab d’Aix en Provence, ce vendredi 25 mars (dès 19h à l’IUT d’Aix en Provence), le thème choisi est « Le numérique au service de l’humanitaire et de la solidarité ».

La révolution numérique change le monde et pose un problème de fracture numérique entre ceux qui y ont accès et maîtrisent leurs usages et les autres pour qui ces technologies restent inaccessibles. Comment construire des passerelles entre des mondes qui n’ont pas l’occasion de se rencontrer ?

2 présentations au programme

Le témoignage de Guillaume Le Cousin qui revient sur cinq années d’aventure humanitaire aux côtés de l’ONG française « Passerelles numériques ». La mission de cette ONG : permettre à des jeunes très défavorisés d’accéder à une éducation et à une formation technique et professionnelle, dans le secteur du numérique. « Passerelles numériques » offre ainsi un avenir en ligne aux jeunes d’Asie en ouvrant des écoles d’informatique au Cambodge, aux Philippines ou encore au Vietnam. En savoir + sur www.passerellesnumeriques.org/fr/

L’intervention de Jean Pierre Lanfrey sur sa vision de « l’humanitaire de l’intérieur » et sur le projet Ze Bus. Atelier participatif et culturel Ze Bus propose aux habitants des trois quartiers d’Aix-en-Provence (Pinette, Corsy et Beisson) de relever un pari : s’emparer eux-mêmes du sujet et mener différents projets associant arts et numérique. Ze Bus œuvre à ce qui est devenu une nécessité : participer d’une éducation au numérique par la pratique personnelle et un usage maitrisé d’outils qui ont envahi notre quotidien.

Rejoignez-nous et partagez !

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Drones et machines volantes : un incroyable potentiel

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Drone de soirée ce vendredi 26 février au Fab Lab d’Aix en Provence ! Une soirée très suivie avec près d’une centaine de curieux et passionnés.

Drones volants, drones plongeants, drones grimpants, drones roulants… la filière bouillonne.

Une première présentation, celle de la Cité de l’air par Marc Pavageau, directeur de la formation. Projet de business accelerator, en phase d’amorçage, la Cité de l’air a pour objectif d’accueillir, de promouvoir et d’accompagner les acteurs industriels de la filière drones.

Le marché existe et il faut être en mesure de répondre par des solutions créatives et innovantes, aux besoins des métiers et des usages. Les grandes entreprises réfléchissent aux économies possibles, font des essais, sont preneuses de solutions sur mesure. Surveillance des lignes à haute-tension, d’entrepôts avec contrôle d’image, inspection des canalisations et réseaux souterrains, recherche d’un véhicule pour un client sur un parc automobile, nettoyage des vitres de gratte-ciels…, les enjeux sont multiples et il faut trouver et proposer des solutions qui marchent.

La Cité de l’air se définit comme un écosystème, créateur de solution drone globale, « catalyseur captif » de talents et d’organisations tant sur les usages que sur les technologies.

Un projet  « Phileapolis » ou la création à Lançon de Provence sur plus de 40 000 m2, de la première cité scientifique au service des objets à commandes déportées ou tous types de drones. L’objectif de ce véritable laboratoire grandeur nature est d’apporter les meilleures solutions (savoir et savoir-faire) éprouvés et d’avant-garde pour permettre à tous les acteurs intéressés, d’atteindre l’excellence.  

Le projet a déjà permis l’émergence d’un mastère spécialisé aux arts et métiers pour la rentrée 2016 « Créateur de Solutions Drones ». Celui-ci réunit les écoles : Edhec ; AMU ; EMSE campus de Gardanne.

Le deuxième temps fort de cette soirée : l’intervention de Hakim Amrani Montanelli, fondateur du FlyLab. Un itinéraire professionnel original pour cet ex ingénieur du son qui en découvrant le potentiel de l’imprimante 3D s’est orienté avec des amis modélistes vers le prototypage de drones gadget. Une belle rencontre, celle avec la société Hexo+ (qui a d’ailleurs fait un carton sur Kickstarter avec une levée de fond de plus d’un million), conforte le projet avec des conseils sur les choix de forme, sur les rotors…

En bootstrap (soit en pré start-up), le FlyLab a conçu une carte de contrôle pour les drones à destination des développeurs. Ce « développer kit » comprend une partie électronique pure, appelée « Bridge », reliant les dispositifs de commandes et de vols du drone, un PC embarqué (type Rasberry) et des connecteurs USB, ouvrant les possibles lors de sa conception. L’ensemble est fourni avec un Framework, le « FlyLab OS Platform », permettant le développement d’usages propres et ainsi de faire évoluer son drone librement.

Le FlyLab est en R&D permanent, réfléchissant et développant de nouveaux usages et donc de nouveaux drones ; à l’instar de leurs démarches auprès des pompiers et du CHU des Yvelines : comprendre les enjeux et les demandes, une première phase de collaboration en cours !

Leur dernier prototype, testé actuellement, affiche une vitesse de 150km/h, pour 1m30 d’envergure, avec une possibilité de charge utile de 15kg et une autonomie de 30 min de vol. Aujourd’hui 4 scénarios de vol ont été conçus. Pour rappel, l’autonomie est un des facteurs à prendre en compte pour des usages professionnels, parfois complexes donc longs, ce qui implique de créer des engins de plus en plus grands.

A terme, grâce notamment à la puissance de calcul du PC embarqué, le FlyLab désire introduire de l’intelligence à bord avec comme perspective le « computer vision », même principe que la Google-car des routes californiennes, rendant autonome le drone, ouvrant de multiples usages.

La troisième intervention illustre parfaitement cette nouvelle approche dans la conception technologique avec pour point de départ un questionnement face à des nécessités liées à un métier et la volonté de développer un usage spécifique. Le drone devient alors une solution pragmatique d’y répondre.

Damien DIAZ, ancien élève de l’IUT d’Aix, créé une première société Drone Consult axée sur la conception de drones et sur la formation.

En aril 2014, la SNCF lance au niveau national une prospection de prestataires afin de satisfaire son besoin de développer un drone de surveillance dédié génie civil. Damien Diaz avec Jean DELZERS décident alors de créer l’entreprise Smart Aerial Machines, sur fonds propres, afin de répondre spécifiquement au cahier des charges de la SNCF. La rencontre est fructueuse et débouche sur un partenariat.

SAM met au point, fort de son équipe de 8 personnes, un drone destiné à inspecter d’une manière parfaite, précise et exhaustive, les ouvrages d’art du réseau ferré. Deux brevets sont déposés : 1 sur la prise de vue « parfaite », l’autre sur le déplacement sans couverture GPS. Ce drone a une autonomie de près d’1 heure et une charge utile de 45kg correspondant au poids des capteurs de la SNCF. Il permet l’inspection de multiples ouvrages d’art, passages à niveau comme ponts. Le drone vole en autonomie en embarquant une intelligence. Après lui avoir fourni suffisamment d’éléments de géolocalisation tridimensionnel de l’ouvrage, le drone peut le parcourir et analyser sa structure, seul sans aide de GPS. Des photos millimétriques sont prises lors de son vol, photos qu’il analyse en poursuivant son vol. Pour plus de rapidité dans l’intervention, les photos sont prises en basse définition pour commencer, puis en haute définition lors de découvertes de défauts avec envoi au sol en direct. Il ramène suffisamment de data pour modéliser en 3D (nuages de points) les secteurs survolés. Gain de temps très important dans le suivi du vieillissement des ouvrages, avec archivage et donc vision dans le temps de leurs évolutions.

Maîtriser la chaîne complète est primordial dans le développement de SAM, qui a donc structuré son entreprise en trois secteurs : un R&D, afin de faire évoluer ses solutions, un secteur Services en proposant des solutions clefs en main comme la photogrammétrie terrestre et aérienne et la production de données géoréférencées et un secteur drone comprenant bien entendu l’assistance technique, mais aussi l’aide à la rédaction de dossier d’homologation DGAC, très contraignante en France (la Belgique est actuellement en train d’écrire une législation spécifique aux vols de drones) mais aussi une école de formation.

Saluons l’initiative de cette soirée qui a permis de valoriser le drone et d’entrevoir à quel point la filière décolle !

+d’infos sur :

Cité de l’air

http://www.citedelair.com/concept/

http://stwk.mj.am/nl2/stwk/1jlh7.html

https://www.youtube.com/watch?v=ueObY3bH5Mg

Fly Lab

http://www.flylab.io/fr/index.html

https://hexoplus.com/

SMART AERIAL MACHINES

http://www.smart-aerial-machines.com/

Drones de machines volantes !

Pour la 2ème soirée thématique, ce vendredi 26 février, les drones s’invitent au Fab Lab d’Aix-en -Provence.

Aux côtés des imprimantes 3D, ils sont l’un des symboles du mouvement Maker aussi les placer à l’avant-scène semble- t-il une évidence.

3 présentations au programme 

  • FLY LAB

Start up dédiée à la fabrication numérique et aux drones. Avec le soutien de la communauté web, le Fly Lab a vocation de devenir un centre d’expertise des drones en open source.

En savoir + sur http://www.flylab.io/fr/index.html Le Fly Lab est partenaire de Squadrone System / Sogilis dans l’aventure d’Hexo+, « première caméra volante » pilotable à partir d’un téléphone portable. En savoir + sur https://hexoplus.com/

  • CITÉ DE L’AIR

La cité de l’air est un projet de business accelerator pour l’écosystème des drones. En savoir + sur http://www.citedelair.com/concept/

Actuellement en phase d’amorçage, le projet a déjà permis l’émergence d’un mastère spécialisé aux arts et métiers pour la rentrée 2016. En savoir + sur http://stwk.mj.am/nl2/stwk/1jlh7.html

  • SMART AERIAL MACHINES

Jeune et innovante start-up spécialisée dans le domaine de l’acquisition d’images par des moyens aériens et des traitements d’images en 2D et 3D. Partenaire officiel de la SNCF pour l’utilisation de drone dans la surveillance des ouvrages d’art. En savoir + sur www.smart-aerial-machines.com

Rejoignez-nous et Fab Drone !

 

Lancement du premier Open Bidouille Camp Provence

Lancement du premier Open Bidouille Camp Provence

Le 29 et 30 Mai prochain, venez rejoindre les DIYers, Crafters, Makers, Bidouilleurs, Débrouillards en tout genre lors de l’Open Bidouille Camp Provence (http://obcprovence.com/fr/) pour un événement festif, ouvert et participatif à Aix en Provence.

Cet événement, un Open Bidouille Camp, aura lieu à la cité du Livre d’Aix-en-Provence. C’est l’occasion de venir présenter vos projets ou de découvrir les inventions et créations de passionnés du « Do It Yourself » qui seront présents pour ces deux jours de fête.

À vos marques… prêts? Partez!

Nous venons de lancer notre appel à participation. N’hésitez donc pas à nous faire parvenir vos projets, achevés ou non! Et n’oubliez pas de dire à tous ceux qui vous entourent que l’Open Bidouille Camp arrive en force ce printemps en Provence!

Montrons au monde ce dont nous sommes capables et impressionnons tous ceux qui n’ont pas encore entendu parler de la culture des Makers! Il y en aura pour tous les goûts, à voir et à apprendre !

Le robot humanoïde open source Poppy sera la star de la soirée #Geekbidouille du 23 janvier

Le robot humanoïde open source Poppy sera la star de la soirée #Geekbidouille du 23 janvier

Vendredi 23 janvier, deux personnes de l’équipe du projet Poppy (http://poppy-project.org/) viendront rencontrer notre communauté pour nous parler de robots humanoïdes et de matériels ouverts.

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Présentation du projet Poppy

Poppy est le premier robot humanoïde complet au monde open-source et imprimé en 3D. C’est un robot de recherche développé par l’équipe Flowers de l’INRIA à Bordeaux. Bien que destiné en premier lieu aux scientifiques et à la recherche, son ouverture et son prix raisonnable (7500€) en font une plateforme de choix pour le monde de l’éducation, des FabLabs, des geeks et des artistes. Ses proportions sont identiques à celles d’un corps humain ce qui explique que sa démarche paraisse fluide et naturelle. Le Poppy est fait à partir de pièces à imprimer en 3D. Ces pièces, robustes et flexibles à la fois, font de cette plateforme un produit bon marché, polyvalent, facilement duplicable et complètement open source.

Construisons notre robot

Le corps du robot Poppy est imprimé en 3D et son comportement pré-programmé avec des logiciels disponibles gratuitement. Cela signifie que les utilisateurs peuvent concevoir les parties du corps. De même ils peuvent programmer les comportements du robot eux-mêmes. Le logiciel et le matériel sont tous deux open-source. Un logiciel et un matériel accessible facilitent l’apprentissage de la construction de son premier robot. Poppy est également compatible avec la plateforme Arduino, ce qui permet au robot d’être interfacé avec d’autres appareils électroniques, y compris les vêtements intelligents, les lumières, les capteurs et les instruments de musique.

Autant dire qu’avec des qualités pareilles, nous rêvons de pouvoir en fabriquer un au sein du LAB depuis bien longtemps. Espérons que la venue de ces ambassadeurs aidera la démarche à se concrétiser. Il y a fort à parier que la communauté des bidouilleurs Aixois pourra contribuer à ce projet collaboratif sur plusieurs de ses sujets d’expertises.

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S04E02 : OculusRift + ootsidebox = Enigma

S04E02 : OculusRift + ootsidebox = Enigma

4ième saison du LabaixBidouille, la série aixoise qui ne se termine pas ! et on en redemande !

Ce soir là, nous avons eu droit à quelques belles pièces :

  • Résumé du déplacement de la fine équipe du LabAix à la MakerFaire Rome 2014. Un article lui sera dédié.
  • Présentation de l’ootsidebox par Jean Noël Lefebvre, un shield 3D tactile pour Arduino libre de droits
  • Une machine Enigma ! Oui en 2014 mais sur Arduino
  • La présence inopportune d’un Oculus Rift

Présentation de OOTSIDEBOX

Jean Noel Lefebvre est venu tout droit de Lyon nous présenter son projet personnel qui je dois le dire m’a sidéré. Si j’avais 150 euros à cet instant, sans hésitation j’en aurais commandé deux exemplaires (personnalisés avec sa signature a-t-il promis). Il ne faut jamais dire jamais car je commence déjà à réfléchir quoi faire avec.

La particularité de ce produit est d’être libre de droits pour sa reproduction du moment que votre projet n’est pas commercial. Normal me direz vous !

Pour l’avoir essayé, je suis conquis. Reste à Mr Lefebvre l’opportunité de trouver un industriel pour ce projet magnifique.

Son site : http://www.ootsidebox.com/

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Jeux avec l’Oculus Rift

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 Sébastien nous a fait la surprise d’amener un exemplaire de ce petit bijou buzzword de 2013/2014. Pour ceux qui ne connaissent pas la bête, je vais les inciter à lire cette page wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oculus_Rift

Michael a permis aux différents membres du @LabAix de jouer avec ce soir. Que ce soit les démos de montagne russe dans un appartement ou bien une petite partie sur HalfLife 2.

J’ai découvert à l’occasion que j’étais atteint de cinétose

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La fameuse machine Enigma

Là encore, ce n’est pas par fainéantise mais je préfère vous inciter à lire ce qu’est une machine Enigma

Raphael, un brillant étudiant de l’IUT (qui ne pratique pas le python comme certains autres) a écrit dans le cadre d’un stage, l’émulation d’une machine Enigma sur Arduino. IL MANQUE UNE PHOTO DE L’IMPRESSION 3D

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La soirée s’est terminée comme à son habitude par une session pizza et des échanges cordiaux entre makers.

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A ce titre, je rappelle que nos permanences sont le mardi et mercredi soir du 17 à 20h. Durant ces horaires, vous pouvez venir aixpérimenter à votre guise vos idées !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Code Week à Aix-en-Provence

Code Week à Aix-en-Provence

Avez-vous entendu parler de la Code Week ? C’est une semaine dédiée au code en France et partout en Europe. Cette initiative de la Commission Européenne est destinée à faire découvrir la programmation lors d’événements locaux entre le 11 et le 17 octobre 2014. L’organisation des ateliers est libre. Vous pouvez consulter les sites CodeWeek et CodeWeekFrance pour découvrir les initiatives qui se préparent près de chez vous, et pourquoi pas en rajouter d’autres.

Pour l’occasion, le LAB collabore avec ses différents partenaires pour proposer un maximum d’initiatives pour la CodeWeek à Aix-en-Provence.

Tout d’abord en ouverture de la Code Weeek, le samedi 11 Octobre après-midi, la Maison Numérique nous ouvrira ses portes de 14 heures à 17 heures. En collaboration avec les Duchess de la Région et les étudiants du département Informatique de l’IUT d’Aix-Marseille, nous animerons différents ateliers destinés aux enfants et aux adultes. Ces ateliers s’adressent à des novices et ne nécessitent aucune connaissance en informatique.

Les enfants de 6 à 15 ans pourront s’initier à Scratch ou à Code Combat. Scratch permet de créer des animations ou des jeux en mode graphique (avec la souris). C’est une façon ludique de découvrir les bases de la programmation. Code Combat permet d’apprendre le Javascript via un jeu d’aventure très graphique…

Les plus grands (à partir de 15 ans) pourront s’initier à Python. Python est un vrai langage de programmation facile à apprendre. Quelques notions de base vous seront présentées avant de vous laisser coder votre premier script python. Le but de cet atelier est de vous mettre le pied à l’étrier afin que vous puissiez ensuite continuer à apprendre ce langage chez vous.

Les places étant limitées, les inscriptions se font via meetup :

Le mardi 14 Octobre après-midi, cela sera au tour du LAB d’accueillir la Code Week en organisant un atelier d’initiation à Arduino.

Arduino est une carte électronique permettant de contrôler de façon vraiment simple des composants électroniques : de faire clignoter des lumières jusqu’à la gestion domotique d’une habitation, d’un robot, etc. Lors de cet atelier vous pourrez découvrir ce que permet de faire un Arduino, comment ça marche et découvrir les différents composants électroniques : qu’est ce qu’une résistance ? Lire la valeur d’une résistance ? Un transistor, un relais, une LED, …

Pré-requis pour cet atelier pas bien compliqué : avoir envie de découvrir & d’apprendre, il est donc accessible à tous !

Le LAB mettra à disposition les composants et les cartes Arduino. Venez juste avec votre ordi et installez le logiciel permettant de piloter l’Arduino (http://arduino.cc/en/Main/Software).

Inscription obligatoire sur le groupe meetup du LAB :

Le mercredi 15 Octobre après-midi, c’est avec le centre social Jean-Paul Coste que nous organiserons un coding gouter. Cet événement sera pour les enfants du centre aéré du centre social. Comme pour l’atelier enfant de la maison numérique, les enfants pourront découvrir la programmation avec des outils ludiques comme Blockly ou Scratch. L’ambiance sera détendue et informelle pour favoriser la créativité et le plaisir de la découverte.

N’hésitez pas à diffuser l’information et à participer !

Bien sûr toutes les bonnes volontés souhaitant nous aider à encadrer ces ateliers sont les bienvenues. N’hésitez pas à nous contacter.

Si vous souhaitez plus de renseignements sur la Code week, vous pouvez consulter les sites http://codeweek.eu/ et http://www.codeweekfrance.org/